Cécilia Attias est née en 1957 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). En octobre 2008, elle crée la Fondation Cécilia Attias pour les femmes, dont l’objectif est d’améliorer concrètement les conditions de vie des femmes, notamment dans le Tiers-Monde. Elle a publié récemment un récit autobiographique Une envie de vérité (Flammarion, octobre 2013). En mars dernier, Attias fut l’invitée de la deuxième édition de la conférence « Women on the Front Lines », organisée par la Fondation May Chidiac à l’occasion de la Journée Internationale de la Femme qui s’est déroulée à l’hôtel Phoenicia de Beyrouth.

Quel est le principal trait de votre caractère ?

La volonté, j' y travaille toujours.

Votre qualité préférée chez une femme ou chez un homme ?

L'intelligence.

Qu'appréciez-vous le plus chez vos amis ?

La loyauté.

Votre principal défaut ?

Trop exigeante avec moi-même et avec les autres.

Votre occupation préférée ?

Me plonger dans mes livres, mes pensées, rire le plus possible.

Votre rêve de bonheur ?

Une vie occupée à la campagne simple et authentique.

Quel serait votre plus grand malheur ?

Perdre les miens.

Ce que vous voudriez être ?

Pianiste, talentueuse...

Le pays où vous désireriez vivre ?

Le pays où je suis.

Vos auteurs favoris en prose ?

De Balzac à Joseph Conrad, du théâtre de Montherlant à Blaise Cendrars, de Marcel Aymé à Georges Bernanos.

Vos poètes préférés ?

Rainer Maria Rilke, Pablo Neruda et Federico Garcia Lorca.

Vos héros dans la fiction ?

Phileas Fogg de Jules Verne, le Petit Prince de Saint-Exupéry, Eugénie Grandet de Balzac.

Vos compositeurs préférés ?

De Faure à Alicia Keys, de Wagner à Eminem.

Vos peintres favoris ?

Les Flamands et Basquiat.

Vos héros dans la vie réelle ?

Beaucoup sont morts...

Vos prénoms favoris ?

Les prénoms de mes enfants.

Ce que vous détestez par-dessus tout ?

La médiocrité sous toutes ses formes.

La réforme que vous estimez le plus ?

L'abolition de l' esclavage.

L'état présent de votre esprit ?

L'aspiration à la sérénité.

Comment aimeriez-vous mourir ?

Pas âgée et pas loin des miens.

Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?

Une très belle voix.

Les fautes qui vous inspirent le plus d'indulgence ?

Les fautes faites par ignorance.

Votre devise ?

« Le bonheur est de continuer à désirer ce que l'on a » (Saint-Augustin)